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Tout au long de l’étude, les femmes ont continué à évaluer leurs symptômes de fibromyalgie tous les jours, et elles ont répété leurs tests de laboratoire toutes les deux semaines.

Pendant qu’elles prenaient le placebo, les femmes ont signalé une baisse de 2.3% de baisse de la gravité de leurs symptômes de fibromyalgie, par rapport à leurs évaluations des symptômes au début de l’étude.

Lorsqu’elles sont passées du placebo à la naltrexone, elles ont signalé une baisse supplémentaire de 30% de la gravité de leurs symptômes de fibromyalgie.

Les femmes ont également montré une plus grande tolérance à la douleur et aux températures chaudes (mais pas froides) lorsqu’elles prenaient de la naltrexone.

La plupart des femmes — six sur 10 — ont répondu à la naltrexone.

Les effets secondaires étaient légers et brefs.

Deux femmes ont rapporté avoir des rêves plus vifs pendant l’étude, et une femme a rapporté des nausées et des insomnies transitoires pendant les premières nuits de la prise des pilules, notent Younger et Mackey.

L’étude, qui apparaît en ligne dans Pain Medicine, était un petit projet préliminaire pour voir si la naltrexone à faible dose était prometteuse. C’était le cas, donc Younger et Mackey travaillent déjà sur une nouvelle étude qui testera la naltrexone à faible dose chez 30 patients atteints de fibromyalgie pendant 16 semaines.